De multiples difficultés ou troubles sexuels pourraient pousser à prévoir de consulter un sexologue sauf que … en chercher un, faire le numéro de téléphone et prendre rendez-vous fait partie des démarches difficiles et compliquées, et je ne parle pas du trajet, de l’attente etc. Tout cela fait partie des sujets les plus “procrastinés” tant la démarche est pesante. D’où l’intérêt de trouver un sexologue en ligne, c’est bien plus léger car on vagabonde sur Internet, on regarde le site du sexologue, on lit les témoignages, on « sait » chez qui on va et on choisit !
AVANTAGES D’UN SEXOLOGUE EN LIGNE
Comme toutes mes séances d’Hypnoses sont en ligne, je donne mes conseils sexologue en ligne, c’est à dire mes séances Hypnose-Sexe comme je les appelle et à de rares exceptions près dans mon bureau-cabinet d’Antibes.
Et les avantages sont nombreux !
- Avoir le choix du sexologue sur Internet
- Ne pas se limiter à la ville de son lieu de résidence
- Profiter de la réputation du sexologue
- Possibilité d’élargir la recherche au monde francophone
- Prise de rendez-vous facile
- Choix important
- Lecture des témoignages
- Visite du site internet
- Discrétion et anonymat
- Pas de trajet à faire pour le rendez-vous
- Pas d’attente en salle d’attente
- Pas de retard de la consultation
- Pas d’intimidation du fait du face à face en réel
- Plus grande liberté d’expression
- Aisance comportementale lors du rendez-vous
- La certitude de ne pas ressortir avec une ordonnance de médicament
- Moins de rigidité et de formalisme que dans un cabinet en ville
- Moins de tabous dans les sujets et l’expression orale
- …
SEXOLOGIE ET HYPNOSE EN LIGNE
99% de mes consultations sexologue se font à distance. Et il n’y a rien qui gêne l’efficacité, promis !
C’est comme si vous alliez au cinéma … vous ressentez toutes les émotions, vous entendez tous les mots, tout le dialogue. C’est pareil avec moi, seul un écran nous sépare.
ET puis deux excellentes raisons aussi à consulter un sexologue en ligne :
- Personnellement je ne fais jamais se déshabiller un patient
- Et je n’ai pas besoin de toucher son corps